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La Généalogie de Lucie
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18 janvier 2009

Ca commençait pourtant bien...

La recherche des ancêtres de notre petite Marie-Thérèse commençait bien. Eh oui, elle descend de Emile Octave Salot qui a épousé une (Juliette) LEMOINE, elle a un grand tonton Jean Baptiste Adolphe SALOT qui a épousé une (Emelie) LEVEQUE... bref, tous les signes avant coureurs d'une jeune fille de bonne famille, vous serez tous d'accord avec moi, je pense. Quand patatra... il a fallu que je fouille seulement une ou deux générations au-dessus, moi et ma curiosité généalogique !

Et oui, car un peu plus haut, vous vous souvenez que nous descendons d'un Michel Auguste SALOT et d'une Marie Rose CHEVALLIER... les bisaïeuls (=arrière grands-parents) de Marie-Thérèse. Et évidemment, j'ai cherché leur acte de mariage (le 27.11.1826 à Mauves sur Huisne, dans l'Orne) pour en connaitre un peu plus sur eux et me permettre de remonter un peu plus loin dans ma quête d'ancêtres.

Et bien quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que Michel Auguste SALOT et Marie Rose CHEVALLIER étaient cousins germains ! En effet, Marie Rose CHEVALLIER n'est autre que la fille aînée de Jean CHEVALLIER et de Marie Louise Cécile SALOT, laquelle est la soeur aînée de Jean Michel Ignace SALOT, époux de Marie LAUNAY (ou DELAUNAY), les parents de Michel Auguste SALOT. La boucle est bouclée.

Pour vous éviter de vous triturer les méninges trop longtemps, voici la même explication sous forme d'arbre raccourci :

1.Michel SALOT (1746-1804) x Cécile LEVILLAIN (? - 1794)

  1.1 Marie Louise Cécile SALOT (1776-1810) x Jean CHEVALLIER (1776-1834)

       1.1.1 Marie Rose CHEVALLIER (1804 - ?) (x Michel Auguste SALOT)

  2.1 Jean Michel Ignace SALOT (1777-1855) x Marie LAUNAY (? - 1833)

       2.1.1 Michel Auguste SALOT (1803-1870) (x Marie Rose CHEVALLIER)

Pour info, Michel Auguste SALOT et Marie Rose CHEVALLIER ont eu 11 enfants entre 1828 et 1845, tous nés à Mauves sur Huisne.

J'en connais une qui m'aurait bien dit, en apprenant le mariage entre cousins, le visage caché dans les mains : "oh ma p'tite fille !", non ?

Lucie

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